Ce livre a été écrit à un moment crucial de la vie de l’auteur. Le grand esprit de la nature Pan l’a initié non seulement à des vérités sur la nature elle-même, mais aussi sur le mouvement de la vie perçu avec les yeux de l’amour. Il confie que ce n’était pas une leçon facile! Voici le récit de ses voyages en compagnie de Pan.
« Portant mon regard sur le fauteuil placé en face de moi, je fus aussi surpris que ravi d’y voir Pan. C’était le Pan que j’avais connu jadis (voir Un retour à l’unité et autres précédents livres). Son énergie m’avait déjà accompagné, mais pas ainsi. Son corps doré, grand et svelte était habillé simplement. Il était assis devant moi et je voyais ses longs pieds nus (des sabots plus précisément), son large crâne chauve au front bombé et ses petites cornes spiralées sur ses sourcils coiffant d’énormes yeux dorés. Des yeux qui transpercent. Des yeux tachetés de lumière, comme si l’univers regardait furtivement à travers eux. Des yeux qui me défiaient tandis que j’observais ses oreilles pointues, son menton effilé, sa beauté renversante, sa grande aura, son intelligence stupéfiante. Oui, c’était bien le Pan que je connaissais et que j’aimais. »
– Michael J. Roads-
Pages 382 Format Numérique Papier ISBN 978-2-89626-359-2 978-2-89626-076-8
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Description
Ce livre a été écrit à un moment crucial de la vie de l’auteur. Le grand esprit de la nature Pan l’a initié non seulement à des vérités sur la nature elle-même, mais aussi sur le mouvement de la vie perçu avec les yeux de l’amour. Il confie que ce n’était pas une leçon facile! Voici le récit de ses voyages en compagnie de Pan.
« Portant mon regard sur le fauteuil placé en face de moi, je fus aussi surpris que ravi d’y voir Pan. C’était le Pan que j’avais connu jadis (voir Un retour à l’unité et autres précédents livres). Son énergie m’avait déjà accompagné, mais pas ainsi. Son corps doré, grand et svelte était habillé simplement. Il était assis devant moi et je voyais ses longs pieds nus (des sabots plus précisément), son large crâne chauve au front bombé et ses petites cornes spiralées sur ses sourcils coiffant d’énormes yeux dorés. Des yeux qui transpercent. Des yeux tachetés de lumière, comme si l’univers regardait furtivement à travers eux. Des yeux qui me défiaient tandis que j’observais ses oreilles pointues, son menton effilé, sa beauté renversante, sa grande aura, son intelligence stupéfiante. Oui, c’était bien le Pan que je connaissais et que j’aimais. »
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